Le frère du prince William et sa femme sont passés maîtres dans l’art de tenir tête à la monarque britannique. Le prince Harry et Meghan Markle, selon les médias locaux, ont, une fois de plus, opposé une fin de non-recevoir à la demande de la reine Elizabeth II de fêter Noël au Royaume-Uni, préférant rester dans leur somptueuse demeure de Santa Barbara, en Californie, aux Etats-Unis.
À quelques jours, seulement, de la nouvelle année, la reine Elizabeth II essuie un nouvel affront de la part de l’un de ses petits-enfants, en la personne du prince Harry. Le duc de Sussex, ainsi que sa femme, ont, en effet, opposé une fin de non-recevoir à la souveraine britannique, qui aurait adressé une invitation formelle, à l’endroit de tous les membres de la famille royale britannique, en ce qui concerne la fête de Noël.
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Meghan et Harry fêteront Noël aux Etats-Unis
Harry et Meghan, contre toute attente ou sans surprise – tout dépend de quel côté on se trouve – ont décidé de passer la fête de la commémoration de l’avènement de Jésus Christ, dans leur villa de Santa Barbara, au grand dam de la famille royale, qui aurait souhaité compter sur la présence des Sussex, en ces moments festifs.
Faut-il le rappeler, le couple, qui vit aux Etats-Unis, depuis le Megxit, n’en est pas à son coup d’essai. Meghan et Harry avaient déjà décliné l’offre de sa Majesté, il y a deux ans, optant pour une virée au Canada.
Richard Kay, journaliste au Daily Mail, rapporte que le prince Harry et Meghan Markle viennent de faire un «Â affront extraordinaire » à la reine et, une nouvelle fois, un «Â faux bond ». Toujours, à en croire le journaliste, il y a deux ans, la reine avait été blessée de ne pas avoir ses petits-enfants, durant la fête de Noël. Il explique : « La reine aime beaucoup avoir tous ses petits-enfants et arrière-petits-enfants autour d’elle à Noël« .
Même si les Sussex ont préféré rester chez eux, à Santa Barbara, Meghan et Harry ont promis d’être en contact avec la monarque de 95 ans, via FaceTime, comme quoi, selon un dicton populaire, « à défaut de ce qu’on cherche, on se contente de ce qu’on a« .